Quand j'ai eu le
mandat d'écrire une courte nouvelle littéraire au sujet libre j'étais emballée.
Enfin je pouvais mettre mes idées à moi, faire quelque chose qui me ressemble. Je
me suis alors demandé si j'y allais avec du fantastique (que j'adore) ou du
gore/horreur (qui vient me chercher dans les tripes)...
Et un matin, je
me suis réveillé avec cette idée : ce sera les 2. Une jolie histoire dégoulinante d’évènements sanglants! Oui! Voilà c'est tout moi.
Bref ça y était,
je me lançai. Quelques heures plus tard, bien enflammée dans mon écriture, je me rends compte que je ne sais pas à combien de mots j'en suis. La
limite de mon projet étant de 2000 mots. Mais
en commençant, 2000 mots ça semblait immense.
Je demande à Word, il me répond en riant aux larmes : Tu en es à près de 4000 mots! Là, je fige. J'en étais à peine à l'action. Comment
allais-je réussir
à
transmettre cette aventure gore en si peu de place?!
Après recherche
et discussion sur ce qu'est une courte nouvelle, je compris alors qu'il me
fallait couper court sur les contextes, descriptions et dialogues pour y aller au
minimum. Puis lancer à la figure des lecteurs l'action principale et
terminer le tout en ouverture. Alors voilà ce que toute cette péripétie à donné.
Lire la nouvelle :
La malédiction de Bizom
Lire la nouvelle :
La malédiction de Bizom
J'ai vraiment adoré me prêter à cette exercice. Je
crois que mon imagination avait besoin de s'exprimer et que l'écriture lui en donne la possibilité. Croyez-vous que je devrais vous livrer l'histoire
complète
de cette aventure épique de Lee? Est-ce que la lecture de ce texte vous rends
curieux de ce qui va se passer, de qui est Lee et s'il parviendra à sauver la
forêt de Mesral?
Moi j'ai adoré la courte nouvelle donc je oui tu devrais compléter l`histoire. :)
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